Bonjour,
Je lance un petit sujet pour une problématique relative au "soulagement" de la maladie de menière.
Comme je n'ai pas trouvé de de sujet spécifique à cette méthode, je me permet de le lancer.
Le docteur TOMATIS, à son époque avait mis au point une méthode qui porte son nom.
Dans son livre "Vertiges" de 1989, il explique qu'il obtient de très bon résultat avec sa méthode "d'oreille électronique".
Sur un des centres (Toulouse) ils disent sur leur site : (j'ai coupé par des ... pour garder l'essentiel)
"Dans 80 à 85% des cas, les vertiges disparaissent...
Dans les cas ou les vertiges sont accompagnés de bourdonnements, c’est en second lieu que l’amélioration des bourdonnements se fera sentir. Généralement, dans 60 à 65% des cas, celui-ci diminue en intensité et devient plus supportable...
La récupération d’une perte de l’audition liée à un Ménière est par contre plus incertaine selon la sévérité des cas"
Source : http://www.tomatis-toulouse.com/men.htm
J'ai envoyé un courriel à ce "centre" et je leur ai demandé un contact d'ancien patient. Ils me l'ont donné.
Je l'ai appellé, et ce n'était pas un "complice". C'était un agriculteur qui n'arrivait plus a travailler et qui en desespoir de cause avait essayé la méthode.
Cela a réduit ses crises et a quasiement fait disparaitre ses acouphènes depuis déjà 2 ans. Nous avons parlé un bon quart d'heure. Il était sincère.
Bien sur, le centre m'a donné un contact qui a marché. Quid du pourcentage ?
Le problème est que si cette méthode marchait tous les gens qui ont cette maladie l'aurait testé ? Après tout dépend du professionnalisme du centre.
De plus ce docteur a été rayé de l'ordre des médecins. Mais bon, ce n'est pas forcement lié.
L'essentiel étant le soulagement de cet enfer !
Si vous avez testé cette méthode et que vous avez eu des améliorations (ou pas) sur votre "ménière", merci de votre retour.
Très bonne journée à vous.
Association France Acouphènes - 92, rue du Mont Cenis - 75018 Paris
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Meniere et Méthode "Tomatis"
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Re: Meniere et Méthode "Tomatis"
Bonjour,
J’ai essayé la méthode TOMATIS pour "meniere".
La théorie TOMATIS est que la cause est psychologique (consciente ou non).
De manière simplifiée, face à un stimulus, que nous appellerons « STRESS », le corps, déclenche une réaction disproportionné sans même passer par le conscient. Cela passerait par les amygdales du cerveau, pas de la bouche (amygdales cérébelleuses)... L’objectif de la méthode consisterait alors à expliquer au cerveau, que cette sur réaction est inutile. L’exemple évoqué est le cas des chocs post traumatique des soldats après la guerre. Ils ont toujours des crises malgré la fin de la guerre, alors que consciemment, ils savent que la situation de guerre est terminée.
Donc, pour la rééducation, ils font écouter du Mozart et des chants grégoriens un peu modifié : de temps en temps plus ou moins aigus et plus ou moins graves. Il y a quelques « aberrations » sonores censées « remuscler » les muscles de l’oreille surtout le muscle de l’étrier qui serait cause entre autre des « acouphènes ».
Concrètement, le déroulement, est le suivant :
Vous faites un test d’écoute exactement comme un audiomètre, mais leur échelle est différente sinon, ce serait exercice illégal de la médecine. Sur cette base, ils vous disent, vous avec eu un choc émotionnel vers tel âge (10-12 ans par exemple) ou vous avez un problème a tel endroit, pour moi le cou. Pas d’avis sur ces « pronostics ».
La dessus, ils vous font écouter la « musique » avec deux écouteurs plus une conduction osseuse du son au sommet du crane. Au début c’est un peu fatiguant. Ensuite cette fatigue passe.
Il faut faire 3 sessions la première de 20 heures puis de +/- 10. A cela ils ajoutent des techniques d’EMDR et d’EFT. Concrètement, ils vous tapotent les deux genoux pour faire communiquer le cerveau droit et gauche en vous faisant penser à une situation susceptible de vous déclencher du stress ou une crise. Ou alors, ils vous font appuyer sur des points d’acuponctures (sur l’arrete de la main, le sommet de la tête, le front, sur les paumettes, les tempes ; sous le nez, au menton, au niveau des clavicules (coté sternum) et sous le bras (coté cœur) en répétant pus ou moins que avant cela n’allait pas, mais que maintenant tout va bien.
En terme d’effet, pendant les deux semaines de traitements, j’avais moins de sensation de plénitude dans l’oreille, par contre toujours les crises de nausée…
Je ne peux pas attribuer l’amélioration à la méthode, aux 2 semaines de vacances, ou à une accalmie temporaire.
Trois semaines après avoir fini la première session, je ne constate pas d’amélioration significative, je ne poursuivrais donc pas. Ne pensant pas que mes problèmes soient psychologique, je ne pense pas qu’il y a aura d’amélioration, peut être que les gens en stress ou ayant subit un choc émotionnel peuvent avoir des améliorations. Pour les autres, c’est peu probable.
Cout : 740€.
Voila donc mon petit avis, bonne journée à vous.
J’ai essayé la méthode TOMATIS pour "meniere".
La théorie TOMATIS est que la cause est psychologique (consciente ou non).
De manière simplifiée, face à un stimulus, que nous appellerons « STRESS », le corps, déclenche une réaction disproportionné sans même passer par le conscient. Cela passerait par les amygdales du cerveau, pas de la bouche (amygdales cérébelleuses)... L’objectif de la méthode consisterait alors à expliquer au cerveau, que cette sur réaction est inutile. L’exemple évoqué est le cas des chocs post traumatique des soldats après la guerre. Ils ont toujours des crises malgré la fin de la guerre, alors que consciemment, ils savent que la situation de guerre est terminée.
Donc, pour la rééducation, ils font écouter du Mozart et des chants grégoriens un peu modifié : de temps en temps plus ou moins aigus et plus ou moins graves. Il y a quelques « aberrations » sonores censées « remuscler » les muscles de l’oreille surtout le muscle de l’étrier qui serait cause entre autre des « acouphènes ».
Concrètement, le déroulement, est le suivant :
Vous faites un test d’écoute exactement comme un audiomètre, mais leur échelle est différente sinon, ce serait exercice illégal de la médecine. Sur cette base, ils vous disent, vous avec eu un choc émotionnel vers tel âge (10-12 ans par exemple) ou vous avez un problème a tel endroit, pour moi le cou. Pas d’avis sur ces « pronostics ».
La dessus, ils vous font écouter la « musique » avec deux écouteurs plus une conduction osseuse du son au sommet du crane. Au début c’est un peu fatiguant. Ensuite cette fatigue passe.
Il faut faire 3 sessions la première de 20 heures puis de +/- 10. A cela ils ajoutent des techniques d’EMDR et d’EFT. Concrètement, ils vous tapotent les deux genoux pour faire communiquer le cerveau droit et gauche en vous faisant penser à une situation susceptible de vous déclencher du stress ou une crise. Ou alors, ils vous font appuyer sur des points d’acuponctures (sur l’arrete de la main, le sommet de la tête, le front, sur les paumettes, les tempes ; sous le nez, au menton, au niveau des clavicules (coté sternum) et sous le bras (coté cœur) en répétant pus ou moins que avant cela n’allait pas, mais que maintenant tout va bien.
En terme d’effet, pendant les deux semaines de traitements, j’avais moins de sensation de plénitude dans l’oreille, par contre toujours les crises de nausée…
Je ne peux pas attribuer l’amélioration à la méthode, aux 2 semaines de vacances, ou à une accalmie temporaire.
Trois semaines après avoir fini la première session, je ne constate pas d’amélioration significative, je ne poursuivrais donc pas. Ne pensant pas que mes problèmes soient psychologique, je ne pense pas qu’il y a aura d’amélioration, peut être que les gens en stress ou ayant subit un choc émotionnel peuvent avoir des améliorations. Pour les autres, c’est peu probable.
Cout : 740€.
Voila donc mon petit avis, bonne journée à vous.
Re: Meniere et Méthode "Tomatis"
Bonjour à la famille des méniéristes non associés !
Le Professore Tomatis est sans doute un poète en son genre. On aime les poètes quand ils font leur poésie sans prétention et ne s'en enrichissent pas trop !
Pour ma part j'ai d'excellents souvenirs Mozartiens sous un casque au bout d'un long fil, avec de temps à autre des "pschhht" de distorsions, comme ceux d'une radio déréglée. La méthode Tomatis, pour moi, se résume à cette expérience esthétique.
Soyons juste un peu moins esthète et considérons la dimension lymphatique du syndrome de ménière, sauf à contester l'hydrops lui-même. Comment envisager de juguler ce dernier par la seule voie externe, via tympan, oreille moyenne ? Un peu surréaliste, non ? Il semble suffisamment connu, reconnu et ressenti par chaque méniériste que les poussées pressionnelles qui saturent l'oreille interne et le crâne ont une origine interne, profonde et non située dans l'oreille elle-même, qui est plutôt le lieu intime de l'expression de ce "quelque chose" qui pousse, oppresse, sature, envahit , d'un équilibre entre extérieur et intérieur rompu. Pluriels et intimes sont les liens entre les fluides gérés et secrétés dans et par le corps -dont les hormones- et les modulations psychiques, les états, les émotions, conscients ou non.
Que la relaxation éventuelle produite par certaines musiques concourent à réduire l'anxiété et favorisent l'équilibrage des humeurs du corps, on peut le concevoir. Mais déduire que ceci ait une vertu curative, c'est tout à fait présomptueux voire fantaisiste. Ou pire : simplement commercial, car Mozart chez Tomatis, c'est plus cher qu'un concert . Les explications "scientifiques" du professore à propos de la musculation induisant de viriles performances à vos plus petits os, sont belles comme une psychanalyse, mais, à part faire circuler le pognon, demeurez certains que le syndrome Ménière n'en sera nullement perturbé !
Probablement trouvera-t-on des témoignages de guérison ... Quand on sait la multiplicité des formes et des fluctuations et des évolutions du syndrome, tout incitera à la prudence envers la validité des témoignages.
Jusqu'à preuve du contraire les origines du syndrome ne sont pas situées clairement. Les seules approches thérapeutiques demeurent donc aussi relatives que d'attaquer une tour en flammes avec des lances : la combustion, la propagation, les destructions sont d'abord vécues comme un terrible spectacle angoissant et désolant. Force est de reconnaître -pour filer la métaphore- que nous ne savons toujours pas ce qui brûle, ni comment, ni pourquoi, mais nous présumons que certaines conditions suffisantes ont été réunies pour que l'incendie se déclare, se propage et ravage plus ou moins. Professore Tomatis, que j'admire par ailleurs, me semble être ici un pompier en costume de ville, signalé par un distingué noeud papillon qui -ah !- tourne, tourne, tourne vertigineusement... pour ventiler la fumée !
Ce que je me permettrais d'ajouter, en écho aux témoignages et questionnements exprimés ici, c'est que Ménière est un syndrome parmi d'autres -car rien du vivant ne se manifeste de façon isolée, univoque, sans être accompagné d'une multiplicité de phénomènes connexes- qui décrit une forme de conflit très intériorisé entre "extérieur et intérieur", entre soi et le monde, entre moi et les autres. Et cela au niveau physique comme psychique. Les explications "chinoises" du syndrome sont intéressantes en ce qu'elles impliquent directement les humeurs, les fluides, la digestion, le refoulement d'énergies vers le haut tandis qu'elles devraient s'exécuter vers le bas. On devrait sans doute pouvoir dire que Ménière est l'expression d'une puissance ignorée, qui se retourne contre soi, une puissance provenant d'un cumul d'énergies refoulées, retenues, qui "profitent" de circonstances "favorables" pour battre en brèche certains derniers remparts et viser le secteur stratégique des oreilles internes, hauts lieux de l'interaction, de l'interpénétration subtile du dehors et du dedans, du masculin et du féminin, du passé et du présent... Si je m'exprime "poétiquement", il n'en demeure pas moins que c'est bel et bien la chair, la cellule vivante qui assument ce "scénario tragique".
Je souhaite d'abord à chacun et chacune de vivre avec ses maux, son temps, son corps, sans culpabilité. Notre civilisation nous projette dans des exigences implicites où l'imperfection, la faiblesse, l'irrégularité sont méprisées, réprouvées, ignorées. C'est notre humanité-même qui perd pied, qui est prise de vertige et ne supporte plus d'entendre le chaos des voix normatives. Accrochons nous là où demeurent encore quelques repères, quelques troncs enracinés ! Pour pouvoir tendre la main à qui a perdu pied. Si pour ma part je connais une accalmie notable des symptômes, je n'ai pas oublié le désarroi des premières années de maladie où l'on apprend rudement la toute relativité de la "bonne santé".
A chacun, avec ou sans Professore Tomatis, je souhaite de résister avec les moyens qui sont ceux des Hommes d'aujourd'hui, et d'y recourir avec prudence, car le "corps médical" et son arsenal ne sont pas exempts d'aberrations. Se souvenir que pour "la science" nous sommes réduits à des objets d'expérimentation au moment où cela lui convient de se prémunir contre ses approximations et son ignorance relative ! Généralement les forums comme celui-ci la gênent, car il s'y manifeste bien trop d'humanité ! La science n'aime pas la controverse, quoi qu'elle prétende !
Courage !
Le Professore Tomatis est sans doute un poète en son genre. On aime les poètes quand ils font leur poésie sans prétention et ne s'en enrichissent pas trop !
Pour ma part j'ai d'excellents souvenirs Mozartiens sous un casque au bout d'un long fil, avec de temps à autre des "pschhht" de distorsions, comme ceux d'une radio déréglée. La méthode Tomatis, pour moi, se résume à cette expérience esthétique.
Soyons juste un peu moins esthète et considérons la dimension lymphatique du syndrome de ménière, sauf à contester l'hydrops lui-même. Comment envisager de juguler ce dernier par la seule voie externe, via tympan, oreille moyenne ? Un peu surréaliste, non ? Il semble suffisamment connu, reconnu et ressenti par chaque méniériste que les poussées pressionnelles qui saturent l'oreille interne et le crâne ont une origine interne, profonde et non située dans l'oreille elle-même, qui est plutôt le lieu intime de l'expression de ce "quelque chose" qui pousse, oppresse, sature, envahit , d'un équilibre entre extérieur et intérieur rompu. Pluriels et intimes sont les liens entre les fluides gérés et secrétés dans et par le corps -dont les hormones- et les modulations psychiques, les états, les émotions, conscients ou non.
Que la relaxation éventuelle produite par certaines musiques concourent à réduire l'anxiété et favorisent l'équilibrage des humeurs du corps, on peut le concevoir. Mais déduire que ceci ait une vertu curative, c'est tout à fait présomptueux voire fantaisiste. Ou pire : simplement commercial, car Mozart chez Tomatis, c'est plus cher qu'un concert . Les explications "scientifiques" du professore à propos de la musculation induisant de viriles performances à vos plus petits os, sont belles comme une psychanalyse, mais, à part faire circuler le pognon, demeurez certains que le syndrome Ménière n'en sera nullement perturbé !
Probablement trouvera-t-on des témoignages de guérison ... Quand on sait la multiplicité des formes et des fluctuations et des évolutions du syndrome, tout incitera à la prudence envers la validité des témoignages.
Jusqu'à preuve du contraire les origines du syndrome ne sont pas situées clairement. Les seules approches thérapeutiques demeurent donc aussi relatives que d'attaquer une tour en flammes avec des lances : la combustion, la propagation, les destructions sont d'abord vécues comme un terrible spectacle angoissant et désolant. Force est de reconnaître -pour filer la métaphore- que nous ne savons toujours pas ce qui brûle, ni comment, ni pourquoi, mais nous présumons que certaines conditions suffisantes ont été réunies pour que l'incendie se déclare, se propage et ravage plus ou moins. Professore Tomatis, que j'admire par ailleurs, me semble être ici un pompier en costume de ville, signalé par un distingué noeud papillon qui -ah !- tourne, tourne, tourne vertigineusement... pour ventiler la fumée !
Ce que je me permettrais d'ajouter, en écho aux témoignages et questionnements exprimés ici, c'est que Ménière est un syndrome parmi d'autres -car rien du vivant ne se manifeste de façon isolée, univoque, sans être accompagné d'une multiplicité de phénomènes connexes- qui décrit une forme de conflit très intériorisé entre "extérieur et intérieur", entre soi et le monde, entre moi et les autres. Et cela au niveau physique comme psychique. Les explications "chinoises" du syndrome sont intéressantes en ce qu'elles impliquent directement les humeurs, les fluides, la digestion, le refoulement d'énergies vers le haut tandis qu'elles devraient s'exécuter vers le bas. On devrait sans doute pouvoir dire que Ménière est l'expression d'une puissance ignorée, qui se retourne contre soi, une puissance provenant d'un cumul d'énergies refoulées, retenues, qui "profitent" de circonstances "favorables" pour battre en brèche certains derniers remparts et viser le secteur stratégique des oreilles internes, hauts lieux de l'interaction, de l'interpénétration subtile du dehors et du dedans, du masculin et du féminin, du passé et du présent... Si je m'exprime "poétiquement", il n'en demeure pas moins que c'est bel et bien la chair, la cellule vivante qui assument ce "scénario tragique".
Je souhaite d'abord à chacun et chacune de vivre avec ses maux, son temps, son corps, sans culpabilité. Notre civilisation nous projette dans des exigences implicites où l'imperfection, la faiblesse, l'irrégularité sont méprisées, réprouvées, ignorées. C'est notre humanité-même qui perd pied, qui est prise de vertige et ne supporte plus d'entendre le chaos des voix normatives. Accrochons nous là où demeurent encore quelques repères, quelques troncs enracinés ! Pour pouvoir tendre la main à qui a perdu pied. Si pour ma part je connais une accalmie notable des symptômes, je n'ai pas oublié le désarroi des premières années de maladie où l'on apprend rudement la toute relativité de la "bonne santé".
A chacun, avec ou sans Professore Tomatis, je souhaite de résister avec les moyens qui sont ceux des Hommes d'aujourd'hui, et d'y recourir avec prudence, car le "corps médical" et son arsenal ne sont pas exempts d'aberrations. Se souvenir que pour "la science" nous sommes réduits à des objets d'expérimentation au moment où cela lui convient de se prémunir contre ses approximations et son ignorance relative ! Généralement les forums comme celui-ci la gênent, car il s'y manifeste bien trop d'humanité ! La science n'aime pas la controverse, quoi qu'elle prétende !
Courage !